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Nous vous invitons à découvrir...
Françoise Héritier, Le sel de la vie, Odile Jacob, 7€€
Couverture du livre « Il y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d’exister, au-delà des occupations, au-delà des sentiments forts, au-delà des engagements, et c’est de cela que j’ai voulu rendre compte. De ce petit plus qui nous est donné à tous : le sel de la vie. » F. H. Dans cette méditation tout en intimité et en sensualité, l’anthropologue Françoise Héritier traque ces choses agréables auxquelles notre être profond aspire, ces images et ces émotions, ces moments empreints de souvenirs qui font le goût de notre existence, qui la rendent plus riche, plus intéressante que ce que nous croyons souvent et dont rien, jamais, ne pourra être enlevé à chacun. Auteur notamment des Deux Sœurs et leur mère et de Masculin/Féminin, Françoise Héritier est professeur honoraire au Collège de France, où elle a dirigé le Laboratoire d’anthropologie sociale. Elle a été directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales et présidente du Conseil national du sida.
Patrick Sébastien, Les joyeux guérissent toujours, Oh!, 19,90€€
Couverture du livre « Les joyeux guérissent toujours » a dit François Rabelais.

Cette phrase, Patrick Sébastien en a fait sa maxime, sa leçon de vie, son étendard ; pour faire face aux chagrins, aux blessures, aux deuils, aux défaites et aux trahisons que nous inflige la vie, une seule solution : la Joie.

C’est cette philosophie qu’applique chaque jour Patrick Sébastien que la vie n’a pas toujours épargné. Au fil des anecdotes de ce journal intime, il nous confie ses éclats de rire, lui qui s’amuse de tout, parce que « le quotidien est tant imprévisible et irréversible qu’en sourire est bien plus jouissif que d’en pleurer ».

Un livre qui fait du bien…

Après Tu m’appelles en arrivant et Dehors, il fait beau… hélas ! Patrick Sébastien poursuit ses confidences. Sans langue de bois, fidèle à lui-même, entre rires et larmes, il nous confie ses joies et ses doutes, ses bonheurs au quotidien.

Un hymne à la vie…
Marie Fugain, Moi, on ne m'a jamais demandé comment j'allais… , Pourtant Laurette était ma sœur, Michel Lafon, 17,95€€
Couverture du livre 18 mai 2002. Laurette vient de quitter ce monde dans les bras de sa grande sœur. La famille est ravagée, les amis arrivent, tous s’apitoient sur la douleur des parents, sur son petit frère Alexis, si jeune pour un tel drame…. Et Marie, elle n’a pas mal, elle ? Elle l’aînée, la belle fiancée de vingt-huit ans, la vivante : pas de quoi se plaindre, sans doute… Personne ne lui a demandé comment elle allait, ni ce jour-là, ni après.

Et cet « après » a duré des années.

Des années à subir les ravages d’un chagrin que chacun garde pour soi et compense comme il peut. « Je suis mort(e) avec Laurette », disent les parents. Ah bon ? Et moi, et Alexis, on est orphelins, en plus ? Une maman qui se consacre au don de plaquettes dans une association admirable, « mais qui m’a volé et ma mère et ma sœur ». Laurette, icône de la leucémie ? Marie, dans son souvenir, la veut pleine de vie, farceuse, « chiante » parfois (mais oui !). Et si forte, dans sa lutte ultime… Elle disparaît et tout s’effondre. La tribu Fugain éclate, le chef de famille s’enferme dans la musique, puis fuit la maison mausolée… Marie ne sait plus où elle en est.

« Ah, comme j’aurais voulu qu’il y ait un mode d’emploi ! Comment réussir sa vie en vingt leçons, sans traumatiser par sa tristesse son mari, ses enfants, sans haïr un père qui se reconstruit ailleurs et laisse une mère éplorée qui se change les idées en côtoyant tout le malheur du monde ? »

Marie a fini par trouver. Mais cela lui a pris dix ans.
Christopher Paolini, Eragon T4 L'héritage, Bayard, 22,90€€
Couverture du livre Remporter l’ultime combat contre l’Empire ou périr, les rebelles n’ont plus d’autre choix… Pourquoi Galbatorix, l’usurpateur, ne détruit-il pas l’armée en marche vers Urû’baen, sa capitale ? Il en aurait le pouvoir. Alors, que trame-t-il ? Pourquoi laisse-t-il les Vardens et leurs alliés, les nains, les elfes, les Urgals et aussi… les chats-garous ! poursuivre, sous le commandement de Nasuada, leur conquête de ses places fortes ? Belatonatombe, ainsi que Dras-Leona. Et Aroughs, réputée imprenable, est conquise grâce à l’astuce et à la témérité de Roran. Le cousin d’Eragon mérite plus que jamais son surnom de Puissant Marteau ! Certes les soldats et les magiciens de l’Empire se défendent. Mais les Vardens ont avec eux Eragon et Saphira, qui font des ravages dans les rangs ennemis. Murtagh et Thorn eux-mêmes ne sont pas de taille à les arrêter. À moins que… Murtagh, bien que lié à Galbatorix par un serment de fidélité prononcé en ancien langage, et donc impossible à rompre, ne fait peut-être pas tout ce qu’il pourrait pour les vaincre… Cependant, l’avancée des Vardens se trouve dramatiquement stoppée sur la route d’Urû’baen. Leur camp est dévasté par une attaque de Thorn et Murtagh, qui enlèvent Nasuada. Comme la jeune femme l’avait décidé, au temps de sa prise de pouvoir, c’est Eragon qui doit prendre sa place à la tête des armées rebelles. Or le garçon est loin de se sentir prêt pour une telle responsabilité, pas plus que pour combattre prochainement Galbatorix en personne. En vérité, après cet enlèvement, il perd tout espoir de venir à bout du tyran. Il comprend que celui-ci ne veut pas les tuer, ni lui ni Saphira, mais les soumettre, comme il a soumis Murtagh et son dragon. Eragon se souvient alors des mystérieux conseils donnés par Solembum, le chat-garou, alors qu’il n’était encore que l’apprenti de Brom. Le premier lui a permis de trouver le métal dont a été forgée Brisingr, son épée. Le deuxième, tout aussi énigmatique, disait : « Quand tout te semblera perdu, rends-toi au Rocher de Kuthian, il t’ouvrira la Crypte des Âmes. » Eh bien, le moment est venu. Mais où se trouve le Rocher de Kuthian ? Solembum prétend l’ignorer. C’est pourtant lui qui va lâcher une phrase étrange – dont il ne se rappellera pas ensuite l’avoir prononcée – révélant l’emplacement du rocher. Il est sur l’île de Vroengard, où se dressait Dorú Areaba, l’ancienne cité des dragons et des Dragonniers, qui fut rasée par Galbatorix et les Parjures. Une magie d’une puissance inimaginable semble avoir effacé de toutes les mémoires ce Rocher de Kuthian, car Glaedr lui-même – qui est mort, mais dont Eragon conserve précieusement l’Eldunarí, le coeur des coeurs, dans un coffret – ne s’en souvient pas. Le dragon d’or est néanmoins d’avis qu’ils doivent prendre le risque et se rendre sur Vroengard. Est-ce un piège de Galbatorix ? A moins qu’une entité inconnue, un formidable magicien, ait décidé de leur venir en aide ? Tandis que Nasuada lutte de tout son courage pour ne pas prêter allégeance à Galbatorix en dépit des tortures qu’il lui inflige, Saphira emporte Eragon et Glaedr au-dessus de l’océan, à travers la pire tempête qu’ils n’aient jamais affrontée .
Harlan Coben, Sous haute tension, Belfond noir, 22,50€€
Couverture du livre La championne de tennis, Suzze Trevantino est inquiète : d’étranges messages ont été postés sur sa page Facebook, affirmant que l’enfant qu’elle porte n’est pas celui de son époux, Lex Ryder. Depuis, Lex, chanteur de HorsePower – célèbre groupe de rock en mal d’actualité –, est introuvable.

Ami du couple, Myron Bolitar mène l’enquête. Et lorsqu’il pense mettre la main sur Lex dans une boîte de nuit branchée, celui-ci disparaît de nouveau. Qu’essaie-t-il de fuir ? Et pourquoi se précipite-t-il chez le très mystérieux Gabriel Wire, son richissime partenaire de HorsePower, terré dans sa villa depuis des années ?

Poursuivant sa mission, Myron fait alors une surprenante rencontre: sa belle-sœur, Kitty. Que fait-elle à New York avec son fils Mickey, dont Myron n’avait jamais entendu parler ? Et où est Brad, ce frère qu’il n’a pas vu depuis seize ans ? Shootée à l’héroïne, la jeune femme refuse de parler. Mais bientôt, Myron fait une découverte bien étrange : Kitty est l’auteur des menaces sur Facebook…

Meurtres, drogue, rock’n’roll, mafia, traque sur Internet et secrets familiaux… Avec l’aide de son équipe, Myron va remonter le fil d’une périlleuse et délicate affaire, dont il ne sortira pas indemne. À se demander si, parfois, de jolis mensonges ne valent pas mieux qu’une cruelle vérité…
Eric-Emmanuel Schmitt, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Livre de Poche LGF, 4,60€€
Couverture du livre Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif…
Christos Tsiolkas, La gifle, 10/18, 9,60€€
Couverture du livre Provocant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing, une révélation dans la lignée d'un Don DeLillo ou d'un Jonathan Franzen.

Lors d'un barbecue entre amis, un adulte gifle un enfant qui n'est pas le sien. ??Un incident qui va créer une onde de choc parmi les invités et provoquer une série d'événements explosifs. Elle révèle aussi derrière les belles apparences, le racisme ordinaire, la drogue, l'alcool, la honte et une extrême solitude. ??Tour à tour violent et bouleversant de tendresse, un très grand roman qui dresse, avec une formidable lucidité, le tableau d'un Occident en pleine confusion.
Jean-Christophe Rufin, Le grand coeur, Gallimard, 22,50€€
Couverture du livre Dans la chaleur d'une île grecque, un homme se cache pour échapper à ses poursuivants. Il évoque sa vie et tente de démêler l’écheveau de son incroyable destin. Fils d'un modeste pelletier, il est devenu l’homme le plus riche de France. Il a permis à Charles VII de terminer la Guerre de Cent ans. Il a changé le regard sur l'Orient, accompagnant le passage des Croisades au commerce, de la conquête à l’échange. Comme le palais auquel il a laissé son nom, château médiéval d’un côté et palais renaissance de l’autre, c’est un être à deux faces. Il a voyagé à travers tout le monde connu, aussi à l’aise dans la familiarité du pape que dans les plus humbles maisons. Parmi tous les attachements de sa vie, le plus bouleversant fut celui qui le lia à Agnès Sorel, la Dame de Beauté, première favorite royale de l’Histoire de France, disparue à vingt-quatre ans. Au faîte de sa gloire, il a connu la chute, le dénuement, la torture puis, de nouveau, la liberté et la fortune. Cet homme, c’est Jacques Coeur. Il faut tout oublier de ce que l'on sait sur le Moyen Âge et plonger dans la fraîcheur de ce livre. Il a la puissance d'un roman picaresque, la précision d’une biographie et le charme mélancolique des confessions.
Marc Dugain, Avenue des géants, Gallimard, 21,50€€
Couverture du livre Inspiré d’une histoire vraie qui s’est déroulée entre le milieu des années 60 et la fin des années 70, Avenue des géants raconte le terrible destin de Edmund Kemper –ici appelé Al Kenner – tueur en série qui défraya la chronique aux États-Unis. Kenner connaît une enfance particulièrement difficile. Enfant de parents divorcés, il est confié à la garde de sa mère – une femme caractérielle, dominatrice, impulsive, maltraitante. À l’adolescence, il est envoyé chez ses grands-parents paternels, qui habitent une ferme en Californie. Il subit alors la tyrannie de sa grand-mère, copie conforme de sa mère… en pire. Un jour, alors qu’il rentre d’une partie de chasse, Al abat froidement ses grands-parents. Aux policiers, il explique : « Je voulais juste voir ce que ça ferait de tuer grand-maman ». Bien qu’âgé de 16 ans, il est interné dans un hôpital psychiatrique pour adultes. Libéré à l’âge de 21 ans sur décision favorable des psychiatres, ce jeune homme – devenu un géant de 2,10 m – réussit à tenir ses démons en cage pour un moment. Il obtient un poste dans la Division des Autoroutes californiennes et prend un appartement à Alameda, près de Santa Cruz. Al s’est toujours senti abandonné. C’est un être cassé, humilié, rejeté depuis sa plus tendre enfance. Quand son rêve de devenir policier s'écroule à cause de sa taille et de son poids, son sentiment d’injustice est à son paroxysme. Il doit se venger. Tuer. Violer. Démembrer. C’est avec une minutie effrayante qu’il prépare ses meurtres. Il va assassiner six jeunes auto-stoppeuses, toutes étudiantes à l’Université du comté de Santa Cruz. Il dépèce les victimes à la fois « par curiosité » et pour que les corps soient plus difficiles à identifier. Il possède un stock de Polaroïds des cadavres, qu'il regarde souvent en fantasmant ; quand il ne ramène pas carrément leurs têtes en guise de trophées. Kenner sombre alors dans une forme grave de schizophrénie : le tueur sanguinaire semble complètement inséré dans la société, et passe même de long moment avec ses amis policiers qui lui racontent les difficultés de leur enquête sur le tueur en série qui sévit dans la région ! C’est après le meurtre de sa mère, en 1973, qu’il se livre à la police après trente heures de conduite sur les routes du Colorado. Au psychiatre, Kenner déclare : « Je voulais faire du mal à ma mère ». Il touche alors du doigt la clé du problème. Il élimine des femmes qu'il associe à sa mère : celle-ci travaillait à l'université, il choisit donc des étudiantes. Jugé responsable de 8 meurtres, Kenner est condamné à la prison à perpétuité. Dans ce roman puissant et captivant Marc Dugain s’applique à décrire la figure du mal quand elle s’incarne dans un tueur en série. Il conjugue ici sa passion pour les États-Unis avec son intérêt toujours vif pour les personnages décalés, marginaux, voire fous, mais qui permettent de saisir l’humanité dans ses contradictions et ses excès.
Marc Lévy, Si c'était à refaire, Robert Laffont, 21€€
Couverture du livre Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, vient de se marier.
Le 9 juillet 2012 au matin, il court le long de l’Hudson River quand il est soudainement agressé. Une douleur fulgurante lui transperce le dos, il s’effondre dans une mare de sang.
Andrew reprend connaissance le 9 mai 2012… Deux mois plus tôt, deux mois avant son mariage.
À compter de cette minute, il a soixante jours pour découvrir son assassin, soixante jours pour déjouer le destin.
De New York à Buenos Aires, il est précipité dans un engrenage vertigineux. Une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu’au dénouement… à couper le souffle.
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